Offrir à son extérieur une touche déco, c’est une manière d’étendre la surface de votre habitation. C’est une extension de votre maison qui est très importante, car elle vous offrira à la fois le cocooning de votre salon mais avec les bienfaits de la nature et du soleil. C’est comme une extension de soi.
Balcon, jardin, terrasse, tout est aménageable
Petits ou grands espaces, profiter de son extérieur est important, car cela permet de se ressourcer avec la nature, de profiter du soleil. De plus, il faut savoir qu’un extérieur bien aménagé permet de montrer à ceux qui vous entourent votre créativité, et votre sens de l’hédonisme. Un espace extérieur c’est aussi une manière de redonner goût aux plaisirs du jardinage, aux plaisirs des soirées d’étés, une façon de partager avec ces amis ou sa famille des moments inoubliables.
Un peu d’histoire
L’aménagement du paysage faisait partie des préoccupations des hommes dès l’Antiquité. C’est à un architecte romain, Marcus Vitruvius Polio, plus connu sous le nom de Vitruve, que l’on doit le premier ouvrage connu sur l’architecture incluant la question de l’aménagement du paysage et définissant l’architecture comme une imitation de la nature. L’œuvre de Vitruve servit d’inspiration aux grands hommes de la Renaissance, période à laquelle réapparaît l’intérêt pour les paysages et l’urbanisme. Ce sont, entre autres, les Italiens qui passèrent maîtres dans le domaine des jardins, avec des réalisations telles que les jardins de la Villa d’Este près de Rome ou les jardins de Boboli à Florence.
Après la Renaissance vint la période de jardins à la française au XVIIe siècle. Ce style de jardins, basant sur la géométrie et l’encadrement rigoureux de la nature, atteignit son apogée dans les réalisations telles que le parc du château de Versailles, le parc du château de Chantilly ou le château de Vaux-le-Vicomte.
Suivit une tendance tout à fait différente, celle des « jardins à l’anglaise » qui se caractérisèrent par l’abandon de règles de géométrie et de la maîtrise de la nature au profit d’une apparence plus sauvage et naturelle conférant un caractère romantique au paysage. C‘est également à cette époque que fut forgé le terme de « jardinier paysagiste », utilisé pour la première fois en 1794 par William Shenstone, poète romantique et paysagiste anglais.
Il y a dans le monde des jardiniers invisibles qui cultivent les rêves des autres – Jeanne Benameur